« Un bon nazi est un nazi mort »

Identité¶

• Nom Prénom “aka” : Victoria O’Neal
• Âge : ans
• Alignement : Consacrato
• Lieu de résidence : Monti

Physique¶

• Taille : 1.56m
• Poids : 53kg
• Couleur des cheveux : Blonds
• Couleur de peau : Blanche
• Couleur des yeux : Ambre
• Style vestimentaire : Aviateur, sportif
• Signe(s) distinctif(s) : Une énorme cicatrice de pentacle inversé dans son dos ; Des lunettes d’aviateurs

Avec sa petite de taille, aux cheveux blonds attachés en chignon et un visage en cœur, Victoria est plus jolie que la moyenne des femmes. Avec des yeux dorés et des lèvres pulpeuses, elle semble tout droit sorti d’un poster de propagande.

Plutôt petite, menue mais tout de moins musclée, elle ne laisse que rarement les gens indifférents.

Généralement, elle porte des vêtements proches du corps, comme des combinaisons et des pantalons serrés, ainsi qu’une veste d’aviatrice. D’ailleurs, cette veste est assez importante pour elle puisqu’elle porte encore le blason de son escadron et de l’armée britannique.

Personnalité¶

Caractère : Impulsive, égoïste, égocentrique¶

Victoria agit comme elle respire : vite, fort, et sans détour. Hyper rationnelle, oui, mais avec une impulsivité assumée qui transforme chaque idée en action avant que les autres aient fini de réfléchir. Son égo est aussi vaste que son intellect et la pousse à analyser tout et tout le monde comme un problème à corriger… Ou à tourner à son avantage.
Les règles ? Elle s’en moque, sauf quand elles servent ses plans. Et si elle agit “moralement”, c’est rarement par bonté : elle répare ton arme, c’est pour que tu saches que l’ancienne était une épave indigne d’un imbécile comme toi.
Chaque geste altruiste est une leçon, une démonstration publique de sa supériorité.

Les Mordere déclenche chez elle un intérêt clinique, comme on étudierait un spécimen rare. Les fascistes, eux, déclenchent une haine viscérale : elle ne se contente pas de les combattre, elle veut les détruire, les humilier, les effacer.

Elle ne cache pas son mépris pour la majorité, convaincue que neuf personnes sur dix sont des imbéciles.

L’ordre est un élément qui lui pose particulièrement problème : obéir aux règles ? Une limite. Elle éprouve un malin plaisir à apprécier le chaos, et encore plus lorsqu’il sert ses intérêts.

Elle parle d’une manière crue, ne mâche pas ses mots, quitte à employer des termes que l’on entend que rarement dans la bouche d’une femme.

Oh.
Et elle adore les explosions.

• Peur : Être enfermée, perdre sa liberté, les illusions et le mensonge (tout ce qui inclue de la manipulation).
• Ambitions : Récupérer ses flingues (volés par Casanova), créer d’autres flingues, comprendre les failles, buter des nazis.

Religion : Luciférienne¶

Ancienne catholique, Victoria “vénère” (d’une certaine manière) Lucifer. Elle a donc pour principe :

• Chaque être humain peut devenir son propre dieu, par l’étude, la maîtrise de soi et surtout la transgression des limites,
• Un refus des dogmes religieux, politiques, ou sociaux qui limitent la liberté.
• Une moralité personnelle avec une éthique basée sur sa propre responsabilité, ses propres choix, et non des commandements divins.

Sa religion passe par peu de rituel, mais elle vénère la lumière (et donc les bougies) et les images que l’on peut retrouver dans les étoiles, le tarot, ou encore l’alchimie (surtout en lien avec les métaux).

Statistiques¶

Compétences¶

Jeton¶

• Defense +
• Brute
• Tir au pigeon
• Detroit smash

Talent : Iron Maiden¶

Victoria est capable de créer une armure de plaque de métal qu’elle garde toujours dans son sac à dos. Tant qu’elle possède cette armure, elle bénéficie d’un bonus de +20 à ses jets de constitution, et -20 à ses jets de dextérité (incluant l’utilisation de son pouvoir).

L’armure possède 4 PV. Si l’armure est détruite par un adversaire, Victoria perd 1 PV et est sonnée pendant 1 tour. De plus, elle ne peut pas la reconstruire pour le reste du combat.
Victoria peut choisir de détruire son armure tant qu’elle possède plus de 2 PV et peut infliger une attaque en AOE en cercle autour d’elle.

Miracolo — Luce di Ferro¶

Victoria contrôle le métal : elle peut le tordre, l’attirer à elle ou le repousser. Elle possède en outre une connaissance plus que surnaturelle sur les différents métaux et comment les utiliser.

Changement physique¶

Après son Miracolo, un pentacle, sous forme de cicatrice, est apparu dans son dos.

Faiblesse¶

• Lorsqu’elle active son pouvoir, l’électricité a tendance à se renforcer. On entend des craquements, des lumières peuvent clignoter, etc. Elle ne contrôle pas l’effet que son magnétisme fait sur l’électricité.
• Elle ne peut pas contrôler les métaux quand ils sont dans des quantités trop petite (ex : sang).
• Sa télékinésie ne peut pas fonctionner au delà d’un certain poids (~500kg)

Psaumes¶

Je marche dans l’ombre,
Mais la lumière est en moi.
Ni dieu ni maître ne guideront mes pas,
Car je suis ma propre étoile,
Et je gravis seul l’échelle des cieux.

Histoire¶

Comme on pouvait s’en douter, Victoria O’Neal est née en Angleterre, de parents irlandais, et descendant d’une grande famille d’ingénieur. Très rapidement — comme son père avant elle — elle se passionne sur les métaux, moteurs et armes à feu.

Bien que turbulente, la petite Victoria a une enfance ordinaire (bien que tout à fait brillante) dans une famille anglicane, marquée par la première guerre mondiale.

Lorsqu’elle a 17 ans, comme on le sait tous, la guerre éclate contre l’Allemagne. Ni une, ni deux, les O’Neal prennent fait et cause contre la barbarie Nazi et Victoria — tout comme sa sœur Eleonore — s’engage en 1940 en tant qu’ingénieure et génie civil (bien que le cursus de Victoria ne soit pas encore tout à fait terminé).

De fil en aiguille, Victoria rejoint l’aviation de transport quand Eleonore rejoint la résistance sur le sol français… Où elle perd contact avec sa famille après quelques mois.

Victoria, à son grand désarroi, est trop jeune pour piloter lors de la libération de l’Europe, mais cela ne l’empêche pas de s’y rendre pour retrouver sa sœur.

Soyons clair, Vic et Ellie n’ont jamais été très proche. La faute à dix ans d’écart et une rivalité franche entre les deux. Mais, la famille, c’est sacrée.

Quand elle retrouve ce qu’il est advenu de sa sœur, elle aurait presque préférée ne jamais savoir. Qu’elle soit un nom, parmi une liste de ceux exécuté dans les camps ou une fosse commune.
Mais pas ça.

Une trahison.

Car sa sœur avait rejoint l’ennemi.
Devoir combattre et tuer sa propre sœur fut un évènement… Pas réellement traumatique, mais presque. Elle avait cherché à la comprendre, à connaître la vérité. Mais que faire, que dire, quand les crimes s’accumulent ? Quand on protège l’ennemi ?

Quand la justification est pire que tout ? Dieu.

Des mensonges.

Alors Victoria devint sa propre lumière.

Elle rejeta tout ce en quoi elle croyait. Et s’alimenta par sa colère.
Si Dieu acceptait le mensonge, la haine. Si l’Église protégeait le fascisme, alors elle croirait en son contraire. En une autre lumière. En elle-même, et l’étoile du matin qui la guidait.

Elle tracerait sa propre voie.
Elle serait Caïn.

Car un bon nazi,
Est un nazi mort.

Dix ans plus tard, devenue ingénieure en armement, ses pas l’amenèrent à travailler pour les Palazzo, participant à la forge de leurs armes expérimentales.

Suite au vol de ses armes, Victoria choisit de reprendre du service contre les fascistes.